DANGER Les résultats des analyses constituent « un important sujet d’inquiétude » selon les scientifiques auteurs de l’étude
« C’est comme avoir un bébé cyborg »
Les chercheurs craignent pourtant que les microparticules mises au jour contiennent des substances chimiques susceptibles de créer des troubles de la santé à long terme. Ils redoutent notamment des dérèglements du système immunitaire ou de la croissance des fœtus affectés. Les auteurs de l’étude évoquent « un important sujet d’inquiétude » dû entre autres au rôle joué par le placenta.
Ce dernier « permet le développement du fœtus et sert d’interface avec l’environnement extérieur », rappellent les spécialistes. Le gynécologue obstétricien italien Antonio Ragusa, principal responsable de l’étude, a utilisé une image frappante. « C’est comme avoir un bébé cyborg qui n’est plus uniquement formé de cellules humaines mais d’un mélange d’entités biologiques et non-organiques », regrette-t-il, cité par The Guardian.
Suffisamment petites pour s’infiltrer dans les vaisseaux sanguins
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